Jean-Pierre Mignard, président de Désirs d'avenir à Nantes pour un débat participatif.
Lundi soir, avec Nolwen (voir son blog), nous nous sommes rendus à Nantes pour assister à un débat "Désirs d'Avenir" Loire-Atlantique autour de Jean-Pierre Mignard - président de Désirs d'avenir.
Ce débat avait lieu dans le cadre de la consultation participative "Pour un congrès utile et serein" autour de trois thèmes :
Jean-Pierre Mignard a insisté sur le fait que nous ne devions pas, à l'occasion de ce congrès, nous "permettre de rater ce rendez-vous avec la Société." Ce congrès a "le devoir de réussite" car les forces de gauche ne sont pas mortes. Nous n'avons pas perdu la bataille des Législatives et nous avons davantage de villes administrées par la gauche. Les régions sont également majoritairement à gauche.
Alors mettons nous au travail derrière nos valeurs communes en arrêtant au plus vite ces conflits de personnes qui sont stériles et dévastatrices pour nous mêmes et pour l'ensemble des Français qui nous écoutent et nous regardent et qui n'apprécient pas nos querelles. (cette réaction revenait continuellement dans le débat)
Nous ne devons pas nous renfermer sur nous-mêmes car nous sommes riches de nos valeurs. Nous devons nous tourner résolument vers l'extérieur, "interpeller et travailler avec les groupements sociaux". Les expériences, les approches, les analyses des syndicats doivent nous nourrir pour trouver des solutions aux vécus quotidiens. "Il faut redonner plus de force à la convention collective car nous assistons au développement d'un nouveau prolétariat précaire."
Il faut faire un véritable travail "d'électricité sociale" pour "mettre un fil avec un autre fil"
"Notre société est obséquieuse avec les personnes agées et oublieuse avec la jeunesse. Il faut utiliser sa liberté tout au long de sa vie et avoir un autre regard sur la vieillesse."
Ce débat avait lieu dans le cadre de la consultation participative "Pour un congrès utile et serein" autour de trois thèmes :
- Quelles protections sociales pour demain ?
- Services publics : outils de cohésion sociale,
- L'urgence gouvernementale.
Jean-Pierre Mignard a insisté sur le fait que nous ne devions pas, à l'occasion de ce congrès, nous "permettre de rater ce rendez-vous avec la Société." Ce congrès a "le devoir de réussite" car les forces de gauche ne sont pas mortes. Nous n'avons pas perdu la bataille des Législatives et nous avons davantage de villes administrées par la gauche. Les régions sont également majoritairement à gauche.
Alors mettons nous au travail derrière nos valeurs communes en arrêtant au plus vite ces conflits de personnes qui sont stériles et dévastatrices pour nous mêmes et pour l'ensemble des Français qui nous écoutent et nous regardent et qui n'apprécient pas nos querelles. (cette réaction revenait continuellement dans le débat)
Nous ne devons pas nous renfermer sur nous-mêmes car nous sommes riches de nos valeurs. Nous devons nous tourner résolument vers l'extérieur, "interpeller et travailler avec les groupements sociaux". Les expériences, les approches, les analyses des syndicats doivent nous nourrir pour trouver des solutions aux vécus quotidiens. "Il faut redonner plus de force à la convention collective car nous assistons au développement d'un nouveau prolétariat précaire."
Il faut faire un véritable travail "d'électricité sociale" pour "mettre un fil avec un autre fil"
"Notre société est obséquieuse avec les personnes agées et oublieuse avec la jeunesse. Il faut utiliser sa liberté tout au long de sa vie et avoir un autre regard sur la vieillesse."